Étiquette : Ibrahim Matous
L’égyptienne
Bent el Haj
Autoportrait n°4
El méthawel 2
Weld Ezraa
Lost 4
Lost 3
Weld Baya
Duel n°1
Weld Leila El Guebssia
Vanités
Sans titre
Sans titre
Sans titre XIII
Sans titre XII
Sans titre III
Portrait du Chamekh ⋕3
Portrait du Chamekh ⋕2
Portrait du Chamekh ⋕1
Autoportrait 21
Autoportrait 20
يطهر باش الشيخ ولد يطهر
مشوشطة روس Les trois Présidents
كريستو الشيخة – « Deuxième dame »
قرضة #1
غلام #2
غلام #1
جاعت مريم
العهد ولي
الرسمي الناهق « Le porte-parole officiel » #3
الرسمي الناهق « Le porte-parole officiel » #2
الخطيبة – « Future troisième dame »
الخطيبات Les fiancées
Première Dame
Les jouets de Meriem 4
Les jouets de Meriem 3
Les jouets de Meriem 2
Les jouets de Meriem
Les jouets de l’héritier du trône 5
Les jouets de l’héritier du trône 4
Les jouets de l’héritier du trône 3
Les jouets de l’héritier du trône 2
Les jouets de l’héritier du trône
Ennahe9 errasmi 1
vanités 7
vanités 6
vanités 5
Vanités 4
vanités 3
vanités 2
vanités 1
Cheikh’s ying Chléka
Bent el haj
L’Egyptienne
Weld Ezraa
Weld Baya
Duel 2
Duel 1
Weld Leila El Guebssia
Ibrahim Matouss
Ibrahim Màtouss is a pseudonym created from the plastic meanderings of Fakhri El Ghezal.
Since 2010, he has taken part in several group shows: Lokhrine/ Les autres and Sexy Art 3 at Galerie L’Air libre in Tunis, A dire d’elles at the Bibliothèque Nationale in Tunis, Printemps des Arts: Fair Tunis at Palais Abdellia in La Marsa, Politiques 1 and Politiques 2 at CNAV in Tunis and Galerie Talmart in Paris, Sans Transition, Slash, De-Génération and Circumambulation with Galerie A. Gorgi, where he presented his first solo show Hrigua in 2013, Burning Day in 2015 and Métamorphosis in 2016.
For Ibrahim Màtouss, the work is dialogue; painting is speech. His figures create a gap towards a piercing « reality ». « Faces of figures, figures of faces »; layers of glued paper, smoky glues, superimpositions of materials, tearing away of materials… The support and « the others » embrace, giving rise to a flesh-to-flesh encounter…
The action of the fire and the gouge hold the subjects in place in a kind of ambient, poignant malaise! Intimacy is narrated… The gap goes astray.